10 déc. 2010
13 oct. 2010
LE PETIT PRINCE (EXTRAIT DE LA COMEDIE MUSICALE)
Le Petit Prince, la comédie musicale d'après Antoine de Saint-Exupéry : "Mon amie la rose"
Vous pouvez trouver tous les autres extraits de la comédie musicale sur You Tube en tapant "LPP-Le petit prince"
9 oct. 2010
40 ans de vie seulement. Et un tel impact sur notre conscience.....
Ca en amène des questions et réflexions, sur le rapport entre la longueur de vie nécessaire aux uns ou aux autres pour réaliser ... quoi, des fois ? et le temps imparti à chacun ...
Il y a disproportion entre nos prétentions et notre destinée.
Mais bien sûr, c'est pendant notre temps qu'on se pose ces questions ...
IMAGINE.
Le meilleur hymne à la vie.
Il faut le ré-écouter.
Je pense brusquement à un devoir de mon collégien, en 6ème, sur la laïcité... Les idées portées par cette chanson sont pleinement indiquées.
8 oct. 2010
John Lennon's 70TH Birthday (GOOGLE)
Aujourd'hui, Google a fêté à sa manière le 70e anniversaire de la naissance de John Lennon/Today Google payed a tribute to John Lennon's 70th birthday.
16 août 2010
Adrian Mole, aged 13 3/4
I'm reading "The secret diary of Adrian Mole". (Many thanks, Dreamcatcher !)
I absolutely enjoy it .
Funny and realistic.
Here are some lines which give an idea of it :-Tuesday January 13th :
"My mother still hasn't washed my PE shorts, and it is school tomorrow. She is not like the mothers on television"
-Wenesday January 14th :
"None of the teachers at school have noticed that I am intellectual. They will be sorry when I am famous."
"There is a new girl in our class. Her name is Pandora, but she likes being called 'Box'. Don't ask me why."
-Thursday January 15th :
"I read a bit of Pride and Prejudice, but it was very old-fashioned. I think Jane Austen should write something a bit more modern."
30 juin 2010
4 mai 2010
5 cinés plus 1 : bonne cure
J'y ai aimé l'histoire, le pays, l'entêtement, la fille, les autres filles, les femmes, les hommes, les enfants, la scène de la salle de bains, la plantation, le travail, les tuyaux, les machines, la scène de la tête de chèvre, le caractère de Maria (Isabelle Huppert), Christophe Lambert, le fils (Nicolas Duvauchelle), les chemins, les bourgades, la guerre des uns, les morts, les vivants, les noirs, les tricheurs, les autres ...
TOUT CE QUI BRILLE
Le plus gai ? Le plus positif ? Oui. Le plus jeune aussi. Ceci explique cela. Un film qui sent bon, tout en énergie, partout partout, même dans les moments noirs et les errances. Vaut mieux ça que regarder les infos. Pour tout le monde. Allez-y. Coup de coeur mérité.
Banco !
2 mai 2010
SIDACTION 2009 - Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
Une très belle chanson de Gainsbourg, interprétée par Jane Birkin. Emouvante et nostalgique.
21 avr. 2010
Avril 2010 : la Prade en vert clair
L'Ardèche aussi danse et brille.
Et au confluent les renouées repoussent, vigoureuses.
12 avr. 2010
5 avr. 2010
DO YOU KNOW WILLIAM CORLETT ?
DO YOU KNOW WILLIAM CORLETT ?(Connaissez-vous William Corlett ?)
C'est un auteur peu connu en France. Je l'ai découvert grâce au livre "Deux garçons bien sous tout rapport" qui décrit l'installation de deux homosexuels londoniens dans un petit village anglais, Bellingford. La description des réactions des "autochtones" à l'arrivée de ces "extraterrestres" (d'une part parce qu'ils sont homo, d'autre part parce qu'ils sont de la ville) est extrêmement drôle. Leur présence révèle aussi les travers de ce petit village où presque chacun cache un cadavre dans son placard.
Ayant beaucoup aimé ce livre, j'ai voulu en lire d'autres du même auteur. Par Wikipedia, j'ai découvert que William Corlett était surtout connu pour ses pièces de théâtre et ses livres pour enfants. Il avait cependant écrit un livre autobiographique, Now and then (1995) que je me suis procuré. C'est un excellent livre, de grandes qualités littéraires, très sensible où l'humour est toujours présent. Je vous le recommande. Malheureusement, pour ceux qui ne lisent pas l'anglais, je ne crois pas qu'il soit traduit en français.
Dernière chose. William Corlett aimait beaucoup la France. Il est mort à Sarlat, où il vivait à la fin de sa vie.
Ferrat : l'héritage
ANTRAIGUES
Nous étions plusieurs milliers, ce mardi-là, à converger vers Antraïgues, pour Jean Ferrat, nous réfugiant dans l'illusion que si nous nous rassemblions, vite, tous, nous aurions encore un peu de lui, ou que notre reconnaissance lui parviendrait.
Les cars se remplissaient, les radios nous diffusaient sa voix, les visages étaient graves. Les hommes et les femmes pensifs, contemplaient au fond d'eux-mêmes un souvenir personnel, une émotion intime, un respect. On ne l'avait plus vu depuis des mois ou plus longtemps. Pourtant chacun revivait en son âme des moments particuliers, qu'il/elle lui devait, se rappelait un combat qu'il avait initié , une prise de conscience qu'il avait provoquée.
Chacun ressassait au fond de lui/d'elle, comment il nous avait éveillés et montré le chemin, comment nous l'avions aimé, applaudi, écouté, comment on avait apprécié sa vigilance, comment on avait eu plaisir à se mêler à ses rires et à ses gourmandises, combien de fois on avait répété ses paroles et sa musique, et quels cadeaux c'était, chaque fois qu'il expliquait, chaque fois que son chant montait, chaque fois que ces messages nous parvenaient.
Tout cela, j'espère qu'il l'a su, entendu, bien avant de partir. Toutes les lettres qu'il avait reçues, de tous les pays comme en témoignent les postiers, le lui avaient dit. Relié au monde par son attention et son intérêt pour toutes les causes justes et fraternelles, il savait qui l'aimait.
Maintenant, le temps, pour nous, continue à passer ...
J'ai ses CDs à savourer , des proches avec qui évoquer les hasards qui nous ont fait croiser ses pas, des sites à ouvrir pour revoir ses interviews, des amis avec qui évoquer la place qu'il a tenu et tiendra, et ses chansons qui me trottent dans la tête...
Il chantait : "Je n'en finirai pas d'écrire ta chanson". C'est ce que nous disons de lui. Nous n'en finissons pas d'éprouver son empreinte dans nos consciences. Plus d'un de nos élans, de nos regrets, de nos espoirs, lui doivent leur mesure.
J'entendais parler de la guerre en termes répétitifs et vagues sans savoir qu'elle venait juste d'avoir lieu, et sans savoir quelle avait été sa réalité. Je côtoyais des immigrés, des bohémiennes, des veuves, sans imaginer leurs soucis, leurs douleurs, leurs passés. Peu de voyages, peu de rencontres, peu d'échanges, en ce temps-là. Je lisais l'Huma, je m'interrogeais devant 'Guernica', j'écoutais mes profs. Je restais perplexe, dubitative. Désireuse d'avancer et d'apprendre, sans oser m'aventurer hors du cocon familier et puéril.
Jean Ferrat, est arrivé là, dans mes années collège. "Eveilleur", nourrisseur. Son langage et son indépendance. Un adulte qui racontait sans imposer, qui exposait le malheur sans tendre l'autre joue. Un passionné au regard calme. Un observateur déterminé. Intelligent sans haine. Guetteur sans tricherie. Alerteur sans désespoir. Sa voix et ses paroles étaient "faites pour s'entendre" , l'une portant les autres, les autres éclatant dans l'une. Chantés par quelqu'un d'autre ses textes n'auraient pas eu tel écho. Chantant autre chose sa voix ne nous aurait peut-être pas atteints non plus. Il formait et développait l'intelligence. M'a été utile et bon.
Mes premières discussions 'hors scolaires' avec mon père ont été motivées par Hourrah que nous répétions à plaisir et qui nous chatouillait l'esprit :
... L'avenir l'avenir ouvre ses jambes bleues, faudra-t-il en mourir ou bien n'est-ce qu'un jeu.
Comme beaucoup, j'ai aimé les Johnny, Françoise et Sylvie, parce que c'était pile le moment où eux et moi débordions d'énergie. La vie allait vite et futile. Du futile, il en faut. Il m'en fallait. C'était gai. Je m'y branchais volontiers.
Mais Jean Ferrat, c'était différent. Il ouvrait et fondait mon appétit pour l'universel. J'en étais fière. Il faisait pousser ma vie intérieure. La pensée résistante, l'écheveau de la destinée humaine, ça m'intéressait.
Révélations, entrées dans les réalités de notre histoire avec Maria - sur la guerre civile d'Espagne- , Potemkine, Commun Commune, ouverture et culture avec Les Nomades, Nul ne guérit de son enfance, vitalité avec Au printemps de quoi rêvais-tu, humour et esprit frondeur avec En groupe en ligue en procession, Les touristes, etc ... Les merveilles sont multiples, les mots attachants, la musique les enrichit.
Je voudrais qu'il n'ait pas été plus malheureux que d'autres, aux derniers temps .... Pas plus que la moyenne, si on peut dire ... Est-ce possible ? Les chants, les combats, les victoires, quand on perd tout, sont-ils d'un secours ? L'amour, l'intelligence, à la dernière heure, peuvent-ils préserver ?
La vie est un sursis.
Aidons-nous.
"Vous voudriez au ciel bleu croire
Je le connais ce sentiment
J'y crois aussi moi par moments
Comme l'alouette au miroir"
Aragon - Les poètes - Septembre 1960 -
28 mars 2010
PAROLES DE "MA FRANCE" PAR JEAN FERRAT
Roland
Jean Ferrat - Ma France (1969)
De plaines en forêts de vallons en collines
Du printemps qui va naître à tes mortes saisons
De ce que j'ai vécu à ce que j'imagine
Je n'en finirai pas d'écrire ta chanson
Ma France
Au grand soleil d'été qui courbe la Provence
Des genêts de Bretagne aux bruyères d'Ardèche
Quelque chose dans l'air a cette transparence
Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche
Ma France
Cet air de liberté au-delà des frontières
Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige
Et dont vous usurpez aujourd'hui le prestige
Elle répond toujours du nom de Robespierre
Ma France
Celle du vieil Hugo tonnant de son exil
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle dont monsieur Thiers a dit qu'on la fusille
Ma France
Picasso tient le monde au bout de sa palette
Des lèvres d'Éluard s'envolent des colombes
Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes
De dire qu'il est temps que le malheur succombe
Ma France
Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une
Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
En remplissant l'histoire et ses fosses communes
Que je chante à jamais celle des travailleurs
Ma France
Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches
Pour la lutte obstiné de ce temps quotidien
Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche
A l'affiche qu'on colle au mur du lendemain
Ma France
Qu'elle monte des mines descende des collines
Celle qui chante en moi la belle la rebelle
Elle tient l'avenir, serré dans ses mains fines
Celle de trente-six à soixante-huit chandelles
Ma France
Merci à http://www.paroles-musique.com/
Jean Ferrat - Ma France
Un très beau texte écrit en 1969 qui, hélas, est toujours autant d'actualité.
26 mars 2010
26 mars 2010 - Crue bienvenue
14 mars 2010
"PRECIOUS" UN FILM BOULEVERSANT
Ferrat , le cri
Ecoutons-les, chantons-les, comme nous les aimons.
Merci à lui, le grand, le beau, l'humain,
amoureux, gourmand, "pareil à nous",
le révolté et la conscience,
le frère des peuples, le solidaire,
génial, proche et caché,
inégalé,
compagnon des pays et des payses,
-ami d'un autre Jean, parti avant-,
merci, Jean, d'avoir chanté.
Nous pensons à sa femme, à ses familiers, à ses amis
Chantons avec ses textes et ses musiques
Un jour futur,
Puis des millions de jours,
J'avancerai parmi des millions d'hommes,
Brisant les murs de ce siècle trop lourd,
Croquant l'amour, comme la rouge pomme, ....
Mon frère, mon ami, mon fils, mon camarade
Je te fais notre alcade
Marin ne tire pas sur un autre marin
Ils tournèrent leurs carabines
Potemkine
M'en voudrez-vous beaucoup
Si je vous dis un monde
Où l'on n'est pas toujours du côté du plus fort
Ce soir
J'aime la marine
Potemkine
Maria avait deux enfants,
Deux garçons dont elle était fière
Et c'était bien la même chair
Et c'était bien le même sang
On ne sait pas
Tout ce qu'on sait
C'est qu'on les retrouva ensemble
Le Blanc et le Rouge mêlés
A même les pierres et la cendre
Si vous lui parlez de la guerre
Si vous lui dîtes Liberté
Elle vous montrera la pierre
Où ses enfants sont enterrés
Quoi toujours ce serait la guerre la querelle
Des manières de rois et des fronts prosternés
Et l'enfant de la femme inutilement né
Les blés déchiquetés
Un jour un jour
Un jour pourtant
Un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche
Ma môme,
Elle joue pas les starlettes
Elle met pas des lunettes de soleil
Elle pose pas pour des magazines
Elle travaille en usine, à Créteil
Chez nous
Y a du soleil qui s'attarde
Je pose ma tête sur ses reins
Je prends doucement sa main
et je la garde
Eux c'est la route qui les pousse
Avec des fifres à leurs trousses
Les Nomades
Et quand on voit sous les platanes
Passer les mulets et les ânes
On a beau être des profanes
On aimerait suivre la caravane
Des Nomades
Nul ne guérit de son enfance
de son enfance
Le vent violent de l'histoire
Allait disperser à vau-l'eau
Notre jeunesse dérisoire
Changer nos rires en sanglots
Amour orange amour amer
L'image d'un père évanouie
Qui disparut avec la guerre
Renaît d'une force inouie
Nul ne guérit de son enfance
Celui qui vient à disparaître
Pourquoi l'a-t-on quitté des yeux
On fait un signe à la fenêtre
Sans savoir que c'est un adieu
Chacun de nous a son histoire
Et dans notre cœur à l'affût
Le va-et-vient de la mémoire
Ouvre et déchire ce qu'il fût
Nul ne guérit de son enfance
Il y a cent ans,
commun , commune
Comme artisan et ouvrier
Ils se levèrent
En écoutant chanter Pottier
En groupe en ligue en procession Depuis deux cents générations
Si j'ai souvent commis des fautes
Qu'on me donne tort ou raison
De grèves en révolutions
Je n'ai fait que penser aux autres
Pareil à tous ces compagnons
Qui de Charonne à la Nation
En ont vu défiler parole
Des pèlerines et des bâtons
Jean, .. Jean , Jean
Au printemps de quoi rêvais-tu ?
Vieux monde clos comme une orange
Faites que quelque chose change
Et l'on croisait des inconnus
Riant aux anges
Au printemps de quoi rêvais-tu ?
Au printemps de quoi riais-tu ?
Jeune homme bleu de l'innocence
Tout a couleur de l'espérance
Que l'on se batte dans la rue
Ou qu'on y danse
Au printemps de quoi riais-tu ?
Au printemps de quoi rêvais-tu ?
Poing levé des vieilles batailles
Et qui sait pour quelles semailles
Quand la grève épousant la rue
Bat la muraille
Au printemps de quoi rêvais-tu ?
Au printemps de quoi doutais-tu ?
Mon amour que rien ne rassure
Il est victoire qui ne dure
Que le temps d'un Ave, pas plus
Ou d'un parjure
Au printemps de quoi doutais-tu ?
Au printemps de quoi rêves-tu ?
D'une autre fin à la romance
Au bout du temps qui se balance
Un chant à peine interrompu
D'autres s'élancent
Au printemps de quoi rêves-tu ?
D'un printemps ininterrompu
Jean Ferrat Tenenbaum
Poème : Louis Aragon
Chanté par : Jean Ferrat
J'en ai tant vu qui s'en allèrent
Ils ne demandaient que du feu
Ils se contentaient de si peu
Ils avaient si peu de colère
J'entends leurs pas j'entends leurs voix
Qui disent des choses banales
Comme on en lit sur le journal
Comme on en dit le soir chez soi
Ce qu'on fait de vous hommes femmes
O pierre tendre tôt usée
Et vos apparences brisées
Vous regarder m'arrache l'âme
Les choses vont comme elles vont
De temps en temps la terre tremble
Le malheur au malheur ressemble
Il est profond profond profond
Vous voudriez au ciel bleu croire
Je le connais ce sentiment
J'y crois aussi moi par moments
Comme l'alouette au miroir
J'y crois parfois je vous l'avoue
A n'en pas croire mes oreilles
Ah je suis bien votre pareil
Ah je suis bien pareil à vous
A vous comme les grains de sable
Comme le sang toujours versé
Comme les doigts toujours blessés
Ah je suis bien votre semblable
J'aurais tant voulu vous aider
Vous qui semblez autres moi-même
Mais les mots qu'au vent noir je sème
Qui sait si vous les entendez
Tout se perd et rien ne vous touche
Ni mes paroles ni mes mains
Et vous passez votre chemin
Sans savoir que ce que dit ma bouche
Votre enfer est pourtant le mien
Nous vivons sous le même règne
Et lorsque vous saignez je saigne
Et je meurs dans vos mêmes liens
Quelle heure est-il quel temps fait-il
J'aurais tant aimé cependant
Gagner pour vous pour moi perdant
Avoir été peut-être utile
C'est un rêve modeste et fou
Il aurait mieux valu le taire
Vous me mettrez avec en terre
Comme une étoile au fond d'un trou
8 mars 2010
PENSEE
[Robert Browning, dans le film "The arrival" de David Twohy]
3 mars 2010
John Malkovich dans "Disgrace"
UN film - LE film- comme je les aime : beau esthétiquement, dépaysant géographiquement et socialement, surprenant , tout au long, par son propos - ses propos plutôt - montrant des situations peu communes et pourtant tellement humaines, suffisamment trouble pour m'interroger, suffisamment simplifié (dans sa construction) pour que je comprenne l'objectif du cinéaste - et le travail des acteurs.
Conclu : un film qui me donne envie de retourner au ciné, vite , vite , pour voir des arts de cette qualité, parce que j'en reviens pleine de nouvelles idées et de nouveaux horizons , avec l'envie de les explorer vite , vite, et de les savourer longtemps , longtemps.
Merci la vie de nous apporter des émotions -révélations- de cette taille.
28 févr. 2010
Psalmus Ode - V a n g e l i s
Suite à mon post précédent, voici "Psalmus Ode" de Vangelis interprétée par le soliste anglais Jeremy Budd. Ne me dites pas que cela ne vous donne pas des frissons...
LA PESTE - di Luis Puenzo dal libro di Albert Camus
Film de Luis Puenzo (1992) avec Sandrine Bonnaire et Jean-Marc Barr, jamais sorti en DVD. La musique a été écrite par Vangelis. A part un extrait édité dans la compil "Reprise" de Vangelis (plage 15: "Psalmus Ode" interprétée par le soliste anglais Jeremy Budd) la BO est introuvable. Je lance un appel à ceux qui pourront m'indiquer où trouver le DVD et la BO.Merci. intégrale.
8 févr. 2010
16 janv. 2010
ONCE: Falling Slowly
Cette chanson, interprétée par Glen Hansard, ouvre le beau film "Once" que j'ai découvert grâce à mon copain Pierre-Philippe.
14 janv. 2010
Alexander Rybak - Song from a secret garden
En cherchant une vidéo sur You Tube de Bruce Springsteen interprétant "Secret Garden", je suis tombé sur cet enregistrement. C'est beau aussi, quoique très différent. Je partage ce moment avec vous.
Roland
10 janv. 2010
9 janv. 2010
8 janv. 2010
Che Guevara
Entre les vacances de toussaint et de Noël j'ai eu à me pencher sur la vie de Che Guevara , pour aider une de mes collégiennes préférées à faire un exposé. Elle était en train d'apprendre , parallèlement, avec sa prof de musique , la chanson de Nathalie Cardone . Voici les paroles . Je sais que quelques amoureux de l'espagnol vont s'en délecter.
Aprendimos a quererte,
Desde la histórica altura,
Donde el sol de tu bravura
Le puso cerco a la muerte.
Aqui se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Ché Guevara.
Vienes quemando la brisa
con soles de primavera
para plantar la bandera
con la luz de tu sonrisa
Aqui se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Ché Guevara.
Tu amor revolucionario
te conduce a nueva empresa,
donde espera la firmeza
de tu brazo libertario.
Aqui se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Ché Guevara.
Aqui se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Ché Guevara.
Seguiremos adelante
como junto a ti seguimos
y con Fidel te decimos :
"¡Hasta siempre Comandante!"
Aqui se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Ché Guevara.
Aqui se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Ché Guevara.